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Drôme : Entre Vallée et Gorges
Il y a quelques années, en revenant du Vaucluse j’avais découvert par hasard les Gorges de 30 pas, près de St Férréol Trente Pas. Je naviguais à l’époque à la carte, et ce petit ziguigui en route blanche avait attiré mon attention. Je me suis alors retrouvé dans un décor superbe, avec l’impression de « rentrer » dans la montagne en m’en approchant.
C’est assez court comme portion, alors j’ai préparé un itinéraire qui nous emmène aussi sur la Vallée de la Roanne, puis Rémuzat, les Gorges de St May et celles de 30 pas.
Nous démarrons du Camping La Vaugelette, pour rejoindre la Vallée de la Roanne qui nous a été conseillée. Avec son classement en route remarquable, il est vrai qu’elle est très belle et surtout, offre des paysages grandioses. Nous avons peu d’autres usagers sur la route, nous pouvons en profiter pour nous arrêter et profiter de la Roanne qui, très claire, coule encore à cette période de l’année.



Nous continuons en montant le col du Pré Guittard, qui va nous offrir une superbe vue dégagée. Les routes sont belles et propres et le temps clément et pas trop chaud. Je découvrirai que j’avais une passagère clandestine ! Nous aurons également une très belle vue sur le plan d’eau du Pas des Ondes en redescendant.




Nous arrivons à Rémuzat où je retrouve avec plaisir le Restaurant du Midi sur la place. Arrivés vers 14h, nous avons pu encore manger, ce qui est très agréable quand on roule sans regarder l’heure ! Une carte simple, des glaces à tomber, bref un arrêt qui reste indispensable pour moi quand mes roues sont dans les parages !



Rémuzat, St May et les Gorges sont aussi réputés pour la présence de Vautours sur les hauteurs. Nous ne sommes pas allés au point d’observation mais nous les avons vus et il est vrai que ce sont de majestueux volatiles !
Les Gorges de St May s’annoncent ensuite, un bel enchainement de longs virages, un bel asphalte…et de nombreux touristes. Attention, le passage d’un tunnel sur la route s’accompagne d’un feu, la circulation à cet endroit ne se faisant que sur une voie. Le paysage est grandiose, et le petit village de St May semble perché sur la colline (photo de 2009 pour le village, en automne).



Nous rejoignons les Gorges de 30 Pas et la magie opère à nouveau ! Une petite route dans la montagne, avec le sentiment d’être hors du temps.


Nous terminons notre balade pour arriver au Camping, pour une bonne douche, une bière et un petit de piscine, sous le phare d’une moto vintage…

TOTAL : 160 kms. 2 à 3h de balade calme, avec des arrêts photos (et je ne compte pas la pause déjeuner)
GPX bientôt disponible en cliquant sur la carte

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De la Drôme à l’Ain par le Colombier
Ces vacances à moto 2023 se terminent.
Nous quittons le camping de la Vaugelette avec un petit pincement au cœur pour rejoindre Jujurieux qui sera notre étape avant le retour à la maison.
Motos chargées, nous nous dirigeons vers le Nord pour emprunter un petit bout de Vercors. La Panorama Les Lèches sera l’occasion d’avoir une dernière belle vue sur ce coin de Drôme.

Direction Romans sur Isère, Saint Marcellin, nous longeons des champs de Noyers de Grenoble et subissons la chaleur sur cette partie de route peu intéressante.
Nous nous éloignons des grandes départementales pour rejoindre enfin une route moins fréquentée et un peu plus agréable à moto. Un petit stop pour manger un morceau (dans un Mc Do, ça sent la fin des vacances !) et après avoir vérifié l’itinéraire, nous partons vers Culoz afin de faire l’ascension du Grand Colombier.
J’ai des cyclistes dans la famille dont un frère qui a couru à haut niveau. J’aurais peut être dû lui demander ce qu’il pensait de ce col… Car je ne m’attendais pas du tout à ces routes étroites, avec une partie de lacets serrés et sans visibilité… Mon vertige m’a joué des tours. La 2e fois en 20 ans de moto (la 1re, dans le Col d’Allos)
Une image tour de France 2023 :

La vue était magnifique sur la montée mais pas d’arrêt, car je pense que je n’aurais pas pu redémarrer tellement j’ai eu des moments de presque tétanie.
Donc on respire,on prend le temps et on se concentre sur les trajectoires et autres usagers pendant près de 18 kms.
A 1 km de l’arrivée, la route s’élargit et je prends le temps de me poser pour admirer le paysage. Et là j’avoue que j’ai oublié instantanément la montée, la vue dégagée et sans voile de chaleur était magnifique.

On ppoursuit jusqu’au sommet et profitons de l’instant, du frais et de la beauté que les images ne reflètent qu’à moitié !


La ddescente sera beaucoup plus simple, avec un très beau dénivelé de 19%.
Direction le plateau d’Hauteville qui va ensuite nous emmener tranquillement à Jujurieux, où une douche et la piscine vont nous détendre avant le retour du lendemain !
Total : 265 kms, environ 4h pour rouler tranquille
GPX disponible en cliquant sur la carte

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Une balade à Poil

Etant désormais toute proche du Morvan que je connais déjà bien grâce à mes amis motards du RCDB Team, j’ai emmené avec plaisir Cédric sur les routes pour une balade d’environ 200 kms. En bas de page, je vous ai préparé la boucle depuis Saulieu.
Comme toujours, je pars avec la carte dans le petit bagster et les grandes lignes en tête. Le but était d’aller se poser manger un bout au Lac des Settons, puis descendre dans le Sud Morvan, à Poil.

Passage obligé par Planchez et Château Chinon, avec son asphalte bien régulière et une route bien dégagée. Les motards connaissent bien l’endroit !
Arrivés aux Settons, nous avons profité d’un magnifique soleil de début d’automne pour nous poser au bord et nous nous sommes faits violemment attaqués par Morphée pour une petite sieste au rythme des clapotis.


Nous avons pris le temps de prendre le temps, ce qui est un luxe non négligeable puis on décide d’aller manger un bout dans un resto devant lequel sont très souvent garées beaucoup de motos. Bien nous en a pris le tarif étant très correct, les assiettes garnies et bonnes et chose très agréable, les patrons très souriants !Il s’agit du restaurant Les Terrasses (clic !)

Nous reprenons la route direction Poil . Le Morvan et ses routes…. gravillonneuses…. Nous aurons beaucoup de plaques de ces ptites bêtes sous nos roues, mais dans l’ensemble j’ai trouvé les routes plus propres qu’habituellement.

Arrivés dans le village concerné, évidemment nous ne pouvons nous empêcher… Etre à Poil dans le Morvan, ça s’immortalise !


L’après midi étant bien avancée, et les routes par là trop gravillonneuses, j’écourte le trajet initial. On prendra un peu de nationale jusqu’à Autun, avant de bifurquer à nouveau dans le Morvan direction Saulieu.
Conseils pour ceux qui ne connaissent pas le Morvan :pensez à faire le plein dès que vous voyez une station, celles-ci sont rares lorsque vous êtes dans le Parc ; gaffe aux bestioles présentes même en journée et au revêtement routier qui est très souvent tape-cul et gravillonneux….
Itinéraire depuis Saulieu : env. 160 kms.
GPX bientôt disponible en cliquant sur la carte

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La Montagne de Lure (04)
Balade de 2012 – Départ Velleron (84)
Sur le conseil de copains, nous décidons de nous faire une belle virée pendant nos vacances. Surtout qu’une partie du menu est plus que tentante : 42 kms de virages d’affilée…. Miam !
Et tant qu’à faire, autant partir par les Gorges de la Nesque. En rentrant, vallée du Jabron, col de l Homme Mort et col des Abeilles.
Voici le programme suivi :



La Montagne de Lure (wikipédia) : La montagne de Lure est une montagne des Préalpes de Haute-Provence, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence. Elle appartient à la même formation géologique que le plateau d’Albion, qu’elle jouxte, et le mont Ventoux. Cette chaîne s’allonge sur 42 kilomètres de long, culmine au signal de Lure (1 826 mètres) et présente un relief très contrasté entre l’adret calcaire, coupé de combes et de vallons, et l’ubac marneux, où s’accumulent monts et ravins.
Et non pas le Lure de notre Haute Saône voisine !




Ceci n’est pas un défaut de l’appareil photo…. Nous avons vu un gros orage nous passer sous le nez (littéralement). Nous avons patienté 20 minutes avant de reprendre la route sur route humide. Nous avons ainsi pu échanger avec un marseillais qui connait très bien les lieux et avec des Bretons dont c’était la première visite dans les parages. Des rencontres humaines comme on aime à en faire !

sur le chemin du retour… Après Glandage dans le Vercors il y a quelques années, encore un nom de patelin sympa !


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Drôme : la Forêt de Saou
Lors de nos congés d’été 2023, nous étions proches de la forêt de Saou, réputée pour être l’une des plus belles de Drôme et le plus beau « synclinal » (pli concave vers le haut) d’Europe.
Les chaleurs arrivant, l’objectif était de faire une petite boucle, d’une centaine de kilomètres, qui inclurait cette forêt. Le départ s’est fait du Camping Moto la Vaugelette où nous logions.
On commence par passer le Col du Pas de Lauzun (alt. 504m) avant de nous diriger en direction de Saou, petit village riche en histoire de la Résistance en traversant sa fôret.



Nous poursuivons vers Bourdeaux, St Nazaire par les petites départementales peu fréquentées. L’ascension ensuite du Col de Muse (alt. 932m) où une superbe vue nous attend. Les routes sont bonnes et encore une fois, peu fréquentée.


Vient ensuite la Vallée de la Roanne, en bord de… Roanne, qui offre de superbes paysages, avec une eau très claire. Un peu de monde en bord de route qui profite des chaleurs pour aller se rafraîchir.
La température commence à monter fort, alors nous avons décidé de rentrer au camping, prendre nos lectures respectives et retourner en forêt de Saou. Nombreux sont les les petits endroits calmes où se poser pour profiter de l’instant et du moment… Ceux qui randonnent auront aussi le plaisir d’arpenter les lieux.

TOTAL : 120 kms. 2 à 3h de balade calme, avec des arrêts photos.
GPX disponible en cliquant sur la carte

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Trajets disponibles en GPX
En cliquant sur les liens, vous êtes redirigés sur mon googledrive et le fichier associé pour récupérer le GPX et l’intégrer à vos GPS.
Forêt de Saou (26) : le GPX
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Quand je voyage seule, mes astuces !

Cet article date de 2016, en 2023 quelques ajustements sont faits !
Parce qu’au fil de mes posts (notamment sur les réseaux sociaux) je constate qu’il y a une curiosité , surtout de filles, sur ma façon de voyager seule. Comment je me prépare, si je n’ai pas peur, si ce n’est pas impossible de voyager seule, étant une femme… je fais donc ce billet.
Même quand je voyage à plusieurs, je « porte » mes affaires et souvent je gère l’itinéraire. Je n’ai pas peur à moto (sinon j’arrête de suite le 2 roues héhé).
Je pense que chacun a sa propre façon de se préparer, voilà la mienne !
Ma Moto et sa préparation
Pendant plus de 10 ans au guidon d’un GSXR, je l’ai pourtant toujours considérée « sportivo Gt » tant elle est confortable. Je l’ai équipée de façon à ce qu’elle soit plus confortable pour voyager : poignées chauffantes, demis-guidons relevés et port USB. J’ai descendu les platines reposes pied au maximum.
En 22023, j’ai désormais une petite GT, qui avait d’origine une position bien plus confortable, des ports USB et des sacoches rigides. J’ai ajouté les poignées chauffantes et un support de réservoir pour continuer à utiliser ma bagagerie Bagster.
J’ai une manie, qui est de lister…. Faire une « To do List » que je commences en général 1 ou 2 jours avant de partir. Cela me permet au moment de boucler, d’être certaine (ou presque) de n’avoir rien oublié. Cela va de la petite culotte, au chargeur de téléphone, en passant par la plaquette de Doliprane.
Avant le départ, toujours une vérification essentielle : son état. Pneus, chaîne, niveaux, plaquettes… Si la moto est entretenue régulièrement, il n’y a pas grand chose à faire, mais ces vérifications sont nécessaires. Peut être que je vous expliquerai dans un prochain article !
Je me débrouille pour avoir le plein la veille mais là c’est plus une question de gain de temps, surtout quand je veux partir tôt le matin, et que je suis plutôt en mode « pas réveillée » quand c’est le cas …

Histoire de sacs….
Pour les bagages, selon la distance, j’ai 3 sacoches . Un polochon que je place à l’arrière, je ne sais plus sa contenance, mais on en met… un gros Bagster pour le réservoir , et un petit Bagster (le modèle Twitty) et un porte téléphone/GPS.Au niveau des tarifs, vous pouvez trouver de quoi vous équiper à partir d’une 20ne d’euros. Surtout les frontaliers, chez les motocistes allemands, il y a de bonnes affaires à faire (chez Louis.de par exemple). Pensez aussi aux sites de petites annonces, on trouve des choses intéressantes souvent.
Généralement je tâche d’en mettre un maximum dans le polochon. Attention à bien équilibrer les bagages ! que ce soit un polochon ou des valises latérales, répartissez ce que vous emmenez de façon la plus équitable possible !
Avec là GT, même combat avec en plus 2 valises rigides Shad. J’ai acheté les sacs souples intérieurs qui font gagner beaucoup de temps ! Pareil, pensez à bien repartir les charges entre les 2.
A l’avant, si j’ai le gros Bagster (comme sur la photo) je n’ouvre pas le soufflet, pour ne pas être dérangée par la hauteur (je l’ai fait une fois sur un FZ6…. irk…). J’y met mes papiers, mes cartes papiers, mon chargeur, de l’eau, mes médocs, une paire de lunettes de soleil, une petite laine et mes affaires de pluie. Bref, tout ce qui doit être rapidement accessible. Si j’emmène du « fragile » comme de la nourriture ou une bouteille, idem, tout sur l’avant !
Ce bagage là a une pochette transparente sur sa partie supérieure. J’y cale ma carte routière dépliée au bon endroit et quand je voyage seule, j’ajoute un billet qui comprend les informations suivantes : mon nom prénom, d’où je suis partie, où je vais et 1 ou 2 numéros de téléphone à contacter en cas d’urgence (en général mon mari ou mes parents et le numéro des personnes que je vais visiter)
En 2023, j’utilise aussi l’application Libertyrider. Elle me permet d’avoir le GPS, garder mes traces GPX, mais aussi de donner un lien de suivi à mes proches si besoin. Et surtout il y a un système d’alerte intégré si l’appli détecte une chute.

Si je n’ai que le Tweety, je mets le minimum dedans, et accessible facilement : papiers, lunettes de soleil, quelques médocs, de quoi nettoyer la visière… et une petite bouteille d’eau si je ne prends pas la graisse.

Mon équipement, mes affaires et petit matériel

Si je fais de grands trajets, encore plus que pour des petits, c est équipement total, ça paraît logique, mais ça va mieux en le disant ! Pour ma part, équipement cuir (blouson + pantalon) bottines moto, gants, casques et dorsale que je viens de changer.
J’ai toujours une ou deux paires de gants de secours en plus, au cas où le temps se dégrade (froid ou pluie) et ainsi avoir la possibilité d’avoir au moins les mains au sec !
Ma combinaison de pluie sert aussi bien pour la pluie évidemment, mais aussi comme coupe vent.
J’ai toujours avec moi une petite bombe de graisse à chaine, ainsi qu’une petite bouteille contenant du liquide lave vitre et un chiffon microfibre (ça s’est à force d’en avoir marre de courir après de l’eau pour laver ce fichu moustique qui s’écrase pile au milieu de la visière).
Des cartes routières de là où je me déplace. Car je ne suis pas très fan de GPS et comme j’aime, quand je ne suis pas pressée, prendre les routes le nez au vent, cela permet de me repérer très vite. En 2023, toujours la carte mais le GPS désormais est mon compagnon de route, surtout que mon casque est équipé d’un système son, ce qui n’était pas le cas en 2016 !
Niveau affaires personnelles, je sais que je suis plutôt « light » dans ce que j’emmène ! Pensez que vous allez vous trimballer tout ça en permanence et que si vous n’avez pas la chance d’avoir une moto avec top case et sacoches latérales en dur qui ferment, il vous faudra les prendre avec vous à chaque arrêt ou presque
Personnellement pour ce qui est affaires de toilette, c’est le minimum et j ai des miniatures pour ce qui est shampoing et produit douche. On oublie le sèche cheveux et le lisseur Mesdames ou alors une version poche.Je me débrouille aussi pour ne pas avoir de linge de toilette à prendre, bien que je prenne toujours ma petite serviette microfibre (qui sèche vite) histoire d’être dépannée au cas où. Renseignez vous avant de partir sur la possibilité de laver des affaires. En plein été, un tee shirt se lave le soir, sèche au chaud la nuit et c’est reparti ! A chacun de faire. Je laisse toujours un peu de place aussi pour l’imprévu (cadeau courses…)
Et j’ai toujours sous ma selle un sac à dos pliable pour dépanner en cas de besoin, bien que je n’aime pas avoir quelque chose dans le dos et que je ne vous le conseille pas !
Au sujet de la conductrice
Ce n’est pas évident de savoir si l’on va tenir la distance sur long trajet, surtout la première fois. Mais le plus important est d’être en forme ! Donc on dort bien la veille, et on s’hydrate pour éviter les crampes. Tant pis pour les pauses pipis le lendemain !
C’est aussi pour cela que mes affaires sont prêtes la veille. Cela me permet de me lever tranquillement, de finir les bagages (la trousse de toilette en général) , de charger et partir sans stress.
Si vous ne vous sentez pas bien le matin ou pas en forme pour prendre le guidon (en général on sent ce genre de choses), décalez un peu le départ. C’est indispensable de se sentir bien en temps normal mais encore plus sur grand trajet !
Quand je roule… itinéraires, astuces
En 2023, j’utilise désormais le GPS mais je prépare d’avance mes itinéraires et sur une feuille je note les grandes directions pour d’un coup d’oeil vérifier où j’en suis. A savoir que l’avantage d’être une nana, c’est que l’on peut facilement aborder les gens pour demander son itinéraire !
En général j’utilise Mappy en indiquant les villes par où je souhaite passer pour éviter la route toute faite qu’il peut proposer. Ce site là est bien, car au niveau temps il est assez fiable. Un conseil : ne donnez pas d’heure précise d’arrivée aux personnes que vous rejoignez. Car entre les pauses qui peuvent être plus fréquentes qu’en auto (pipi, photo, café, essence…) et les aléas de la route, c’est régulier que les horaires ne soient pas tenus. Donc autant ne pas affoler inutilement.

Évidemment, on garde la carte accessible facilement, ainsi quela carte bancaire et la monnaie.
Concernant les arrêts, si c’est pour le plein et l’arrêt station ensuite, je mets la moto de façon à ce qu’elle soit bien visible et que la personne en caisse puisse la voir. Je n’ai jamais eu de refus quand j’ai demandé à ce qu’on garde un oeil dessus le temps que je file aux toilettes…
Cela m’est même déjà arrivé dans un macdo, de demander à une table voisine de surveiller mes affaires et sans essuyer de refus… Après un peu de confiance dans ce monde ne fait pas de mal 🙂 et le sourire aide, il est vrai.
Mais surtout ne pas mettre la moto dans un coin isolé, sous prétexte que vu qu’il est isolé, il n’arrivera rien ! Erreur ! (testé et approuvé en Terminale avec mon scooter)
L’avantage des réseaux sociaux, c’est que cela permet de tenir au courant un peu en temps et en heure les amis de où l’on est sans envoyer de SMS « tout va bien »; C’est plus ludique, ce sont des souvenirs… et faire marner les copains ce n’est pas désagréable ! Ainsi, vous tenez aussi au courant en temps réel de où vous en êtes dans votre trajet et rassurez sur le fait que tout se passe bien.
Alors…. n’ayez pas peur de vous lancer, ça vaut vraiment le coup et rouler seule, pour ma part, ce n’est vraiment ni galère ni difficile!
N’hésitez pas à commenter, à poser des questions ou donner vos propres astuces !
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Bienvenue !
Ce nouveau site fait suite aux blogs que j’ai eus précédemment. Les évolutions d’internet font que je dois m’adapter !
J’ai le permis depuis 2001, ma propre moto depuis 2005 et je voyage depuis 2009, accompagnée ou seule. Depuis 1995 mon surnom est Zibeline, et c’est naturellement qu’il est devenu « Zib » dans le monde de la moto.
En attendant de faire la déco du site et commencer à tout rapatrier, vous pourrez retrouver mes précédentes balades sur :
https://lesblogs.motomag.com/balades-de-zib/
http://zibneomoto.blogspot.com/
Bonne lecture et j’espère, découverte avec moi !

